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RAID UNSS ACADEMIQUE CAEN
12 juin 2014

Boucle d'enfer. Jeudi 12 Juin. Jour 2.

Jeudi 12 juin matin.

 

Il faisait très froid ce matin quand je me suis réveillée. Je pense qu’on a tous eu un peu de mal à dormir.

Ce matin j’ai pu assister à la boucle d’enfer.

J’ai donc commencé ma fonction à la presse par le trial. C’est un parcours dans la forêt, avec des obstacles, où il ne faut pas poser les pieds au sol. J’ai suivi un coureur sur le parcours 2, le plus difficile. Dans chaque équipe il y a 2 coureurs sur le parcours 1 et 2 sur le parcours 2. Il est tombé 2 fois ; au début et à la fin. Le parcours était vraiment dur car même moi, à pied, j’avais du mal à avancer sans glisser.  Certains coureurs m’ont dit qu’ « avec la rosée du matin, ça glisse ! ».

 

Je suis ensuite allée au Trail. C’est une course à pied en pente raide, dans un champ rocailleux. Les temps comptés sont le 1er et le dernier. Les coureurs se placent dans un ordre précis :

-le 1er doit être le plus rapide sans attendre ses coéquipiers pour faire le meilleur temps.

- les 2ème et 3ème sont souvent les plus lents ou les plus fatigués.

-le dernier doit encourager les 2ème et 3ème pour que lui, fasse un bon temps aussi. 

 

L’épreuve suivante de la boucle d’enfer était le rodéo qui consiste à descendre une côte en mode déraillé. Cette course se déroule dans un champ, 2 par 2. Le but étant de ne pas freiner mais comme les virages étaient serrés et l’herbe mouillée, beaucoup de coureurs freinent.

 

La quatrième épreuve était le biathlon. C’est un peu comme le biathlon que l’on connait, c'est-à-dire en ski, avec des cibles où il faut tirer à l’aide d’une carabine à plomb, sauf que c’est une course à pied, avec des cibles où il faut tirer à l’aide d’un nerf. C’était amusant.

 

Quand je suis retournée au camp j’ai pu assister à la dernière épreuve de la boucle d’enfer. La course à pied, VTT et canoë. Les participants étaient très actifs à l’arrivée, ils devaient aider leurs coéquipiers à débarquer de façon à ce que dès qu’ils arrivent, ils puissent enlever leur gilet et les mettre dans le canoë avec leur pagaie. A partir du moment où tout est dans le canoë (gilet et pagaie de toute l’équipe), le temps s’arrêtait.

Quand mon équipe est arrivée (c'est-à-dire vraiment très en retard), mes coéquipiers n’ont pas attendu avant de faire l’épreuve. Quand ils ont eu fini, ils ont un peu râlé parce qu’au point de relais où le coureur et le cycliste devaient pendre le canoë, et ceux du canoë devaient courir, il devait y avoir un jeune officiel et il n’y avait personne. Ils ne savaient donc pas où débarquer. L’autre équipe de mon lycée ont eu le même problème.

 

Mais tout cela n'a pas trop d'importance...(

Mäéva

 

 

Raid UNSS 2014_Boucle d'enfer 16_9

 

 

 

 

 

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